Ce qu'il aime par dessus tout chez elle, ce sont ses mains. Lorsqu'ils sont à proximité l'un de l'autre, elles se cherchent...puis se trouvent
Il aime que ses mains s'allient aux siennes, qu'elles s'emboîtent, qu'elles se manquent, qu'elles se comprennent.
Il part de la paume, glisse doucement sa main. Il fait ce geste plusieurs fois de suite.
Elle a les mains douces
...et elle adore ça.
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vendredi 11 février 2011
"L'amour, c'est comme du mercure dans la main. Garde-la ouverte, il te restera dans la paume ; resserre ton étreinte, il te filera entre les doigts."
La gorge serrée et les yeux encore humides, j'ai encore ce sentiment de plénitude, de bien être qui ne dure pas ou n'existe pas, mais qui donne du goût à l'instant présent. Je te veux. Je veux que tu me prennes dans tes bras. Serre-moi. Etouffe-moi. Dévord-moi. Je m'en fou tout pendant que c'est toi. Ne te l'interdis pas. Je t'ai dans la tronche. Un seul sentiment. Un sentiment de passion : l'amour. L'amour débile? Je m'en fou.
Sa détruit et fait souffrir mais j'aime tellement ça. Un vent de folie qui neutralise complètement la raison et la volonté. Je suis mordue. Le désir non satisfait, l'espoir qui s'envole, la remise en cause de soi-même sont de vraies douleurs. Ne me ramène pas à ma vie banale, quotidienne et sans perspectives. Je me force à affronter la réalité. Etre aimée est un besoin vital, aussi indispensable que l'air que l'on respire. Tu es dépourvus de sensibilité. Je suis folle, folle de toi, de ta belle gueule. Je t'en veux. Je m'en veux aussi.Ton regard excessif m'est fatale. Je savoure sans savourer. Il faut que je sois plus lucide. J'aimerais juste être aimée. Je veux que tu m'aimes. Oui. Juste une fois ; ça suffira.
Sa détruit et fait souffrir mais j'aime tellement ça. Un vent de folie qui neutralise complètement la raison et la volonté. Je suis mordue. Le désir non satisfait, l'espoir qui s'envole, la remise en cause de soi-même sont de vraies douleurs. Ne me ramène pas à ma vie banale, quotidienne et sans perspectives. Je me force à affronter la réalité. Etre aimée est un besoin vital, aussi indispensable que l'air que l'on respire. Tu es dépourvus de sensibilité. Je suis folle, folle de toi, de ta belle gueule. Je t'en veux. Je m'en veux aussi.Ton regard excessif m'est fatale. Je savoure sans savourer. Il faut que je sois plus lucide. J'aimerais juste être aimée. Je veux que tu m'aimes. Oui. Juste une fois ; ça suffira.
Nous sommes tous à la recherche de cette personne qui nous apportera ce qui manque dans notre vie. Et si on ne parvient pas à la trouver on n'a plus qu'à prier pour que ce soit elle qui nous trouve..
Ils flottent, ils volent. Ils sont Dieu, ils sont anges, ils sont seuls. Autour d'eux, le monde s'efface et se réduit au simple décor d'un théâtre dont ils sont les uniques acteurs. Ils s'aiment. D'un amour dans le sang. D'une ivresse permanente. Dans l'instant et l'éternité. Et en même temps, la peur est partout. La peur du manque. La peur de se retrouver sans oxygène. C'est l'évidence et la confusion. C'est à la fois la foudre et l'anéantissement. Le plus beau des printemps, l'orage le plus violent. Et pourtant, ils s'aiment.
Encore un vendredi soir passé à pleurer, à user des mouchoirs. Elle ne se souvient même plus la raison pour laquelle son mascara a taché son traversin blanc. Chaque vendredi soir elle se drogue de musiques tristes, de textes tristes, de films tristes. Elle est seule, et lorsqu'elle est seul, elle pense. Elle pense à ce qu'elle aurait pu avoir et ce qu'elle n'aura jamais.
Elle a mal ce soir, très mal.On ne l'a jamais aimée. Elle n'a jamais vécu une belle histoire d'amour. Même une simple histoire d'amour sans rajouter l'adjectif "belle". Elle n'y croit plus. Ca fait déjà longtemps qu'elle n'y croit plus. Elle ne croit plus en l'amour, elle ne croit plus au futur, et le bonheur, elle n'y a jamais cru.C'est la réalité qui la fait souffrir. La triste réalité. La réalité des choses, la réalité du monde qui l'entoure et la dure réalité de la vie.
Elle auraît aimé naître folle pour grandir dans sa folie. Voir le monde à sa façon, vivre dans un univers forgé par son esprit inconscient du monde extérieur.
Etre folle, certes, mais être heureuse.
Elle a mal ce soir, très mal.On ne l'a jamais aimée. Elle n'a jamais vécu une belle histoire d'amour. Même une simple histoire d'amour sans rajouter l'adjectif "belle". Elle n'y croit plus. Ca fait déjà longtemps qu'elle n'y croit plus. Elle ne croit plus en l'amour, elle ne croit plus au futur, et le bonheur, elle n'y a jamais cru.C'est la réalité qui la fait souffrir. La triste réalité. La réalité des choses, la réalité du monde qui l'entoure et la dure réalité de la vie.
Elle auraît aimé naître folle pour grandir dans sa folie. Voir le monde à sa façon, vivre dans un univers forgé par son esprit inconscient du monde extérieur.
Etre folle, certes, mais être heureuse.
Sauve-moi. Sauve-moi de ce vide sans nom.Sois mon guérisseur. Aime-moi. Aime-moi si fort pour que ma souffrance s'ébranle, serre-moi de toutes tes forces pour me déclouer ma douleur, couvre-moi de baisers pour faire jaillir mon bonheur, étouffe-moi d'amour pour faire battre mon coeur.
S'il te plaît, s'il te plaît.
Je ne suis qu'une bêtise humaine. Je m'approprie ton amour. Il n'est pas à moi. Je ne suis rien pour toi. Je ne suis qu'une toile, un tableau.
J'occupe juste le vaste espace qui entoure quelques unes de tes journées. Je suis un tableau invisible mais qui a des yeux. Des yeux qui n'existent que pour se fondre dans les tiens. Des yeux qui ne sont fait que pour te manger. Ils t'ont déjà avalé plus d'une fois.
Si tu la regardes, tu te verras à travers elle, tu apercevras ton reflet. Même les yeux fermés elle pourrait dessiner à la perfection chaque trait de ton doux visage, chaque membre de ton corps. Elle pourrait accorder un instrument aux intonations de ta voix.
Dans un futur proche, la peinture du tableau sera défraîchie. Elle se craquera en petits morceaux secs, le tableau n'aura plus d'apparence. Il sera tellement usé par le temps, par sa courte vie passé dans un musée ou personne ne le remarque, qu'on le jettera.
Sans aucun état d'âme.
Sans aucun remord. Son existence ne sera plus qu'un passé lointain. De toute façon, il ne servait à rien.
"La mort viendra et elle aura tes yeux."
S'il te plaît, s'il te plaît.
Je ne suis qu'une bêtise humaine. Je m'approprie ton amour. Il n'est pas à moi. Je ne suis rien pour toi. Je ne suis qu'une toile, un tableau.
J'occupe juste le vaste espace qui entoure quelques unes de tes journées. Je suis un tableau invisible mais qui a des yeux. Des yeux qui n'existent que pour se fondre dans les tiens. Des yeux qui ne sont fait que pour te manger. Ils t'ont déjà avalé plus d'une fois.
Si tu la regardes, tu te verras à travers elle, tu apercevras ton reflet. Même les yeux fermés elle pourrait dessiner à la perfection chaque trait de ton doux visage, chaque membre de ton corps. Elle pourrait accorder un instrument aux intonations de ta voix.
Dans un futur proche, la peinture du tableau sera défraîchie. Elle se craquera en petits morceaux secs, le tableau n'aura plus d'apparence. Il sera tellement usé par le temps, par sa courte vie passé dans un musée ou personne ne le remarque, qu'on le jettera.
Sans aucun état d'âme.
Sans aucun remord. Son existence ne sera plus qu'un passé lointain. De toute façon, il ne servait à rien.
"La mort viendra et elle aura tes yeux."
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