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lundi 22 novembre 2010
Ah ! Tes yeux ! J'aime m'y plonger, m'y noyer. Puis tu m'enlace et tu m'embrasse. chaque fois c'est pareil. C'est éternel, irréel.
Un jour j'arriverais derrière toi, je t'empoignerais par le bras, je t'emmènerais loin de là et on partira ensemble. Rien que tout les deux. Comme des amoureux... On fera les quatre cent coups, on volera de nos propres ailes comme on l'a toujours voulus. On rira des gens qui se vautrent par terre, on se moquera de toutes ces filles en plastiques et superficielles, on ira au cinéma et on pleurera devant une comédie romantique ou nous rirons devant un une comédie. On regardera des couchés de soleil magnifiques, on se regardera dans les yeux et on se sourira comme au bon vieux temps. On regardera le ciel la nuit, les étoiles, les filantes, la lune, les nuages et on dormira à la belle étoile. A la belle étoile... Tu te souviens quand on était petit ? Je te disais sans cesse qu'un jour on accomplirait tous nos rêves, même les plus fous et qu'on ferait ça ensemble. Mais ce que je ne t'avais pas dit, c'est ce qu'était mon rêve le plus fou. Celui que je ne t'avais jamais dit par peur de te perdre. Et un jour en rigolant je t'ai demandé de m'embrasser. Tu n'as pas réagis. Le choque peut-être. Puis nous avons changé de rue. Nous sommes passé de la petite rue déserte à la grande rue bondée de monde et là tu m'as prise dans tes bras, tu as passé ta main dans mes cheveux, tu m'as regardé dans les yeux, tu as chuchoté à mon oreille... " Je connais ton plus grand rêve... " ... Et tu m'as embrassé fougueusement dans la foule. C'était magique, magnifique, unique. Dithyrambique.
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