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mardi 30 novembre 2010

flirting with disaster

On nous dit souvent qu'au bout d'un certain temps, 
la passion devient "autre chose", de plus solide et 
plus beau. Que cette "autre chose", c'est l'Amour
avec un grand "A", une sentiment certes moins 
excitant, mais aussi moins immature. J'aimerais être
clair : cette "autre chose" m'emmerde, si c'est cela
l'Amour, alors je laisse l'Amour aux paresseux, aux
découragés, aux gens "mûres" qui se sont engoncés
dans leur confort sentimental. Moi, mon amour il 
a un petit "a" mais de grandes envolées. Il ne
dure pas très longtemps mais au moins, quand il 
est là on le sent passer.

quand l'étonnement disparaît, c'est la fin.


Aurais-je un jour assez de cran pour retourner au combat, il me reste encore de sang sous les ongles, je crois qu'il faut beaucoup plus que du temps pour oublier quelqu'un comme toi au lavage même en frottant les traces de sang ne partent pas. Pourquoi faut-il toujours en baver, est-ce que mourir ressemble à ça, j'avais entendu tes doigts claqués et bien sur j'avais rampé jusqu'à toi. J'étais toujours au garde-à-vous quand tu inspectais mon corps, j'ai ce suçon collé au cou comme une trace du remord. Mais pour penser à autre chose peut-être devrais-je me casser le bras, je sais l'amour a tué plus de gens que tout un siècle de cholérat, j'en ai vu mourir des milliers, aujourd'hui, ça tombe sur moi. Merci d'avoir passé les gants pour dire que tu ne m'aimais pas, j'ai trouvé tellement charmant, la compassion qu'escortait ta voix, le crime est toujours plus élégant quand l'assassin est très adroit. Et tu t'éloignes et tu t'éloignes, et je n'y fait rien, il est rare que l'on gagne en se conduisant comme un crétin. J'aurais du te courir après, me jeter à tes pieds, il n'y a plus d'amour-propre.. L'amour m'a tué.
Je ne vais pas lancé à tes trousses tous les reproches de la terre, la place est au silence ma douce, alors pas de bruit dans mon cimetière. Oui, j'aurais du te retenir avec ce que je n'avais pas, avec des diam's ou des menhirs. Tu vois je dis n'importe quoi, juste pour aller un peu plus loin, tomber un peu plus haut. Je t'ai perdu comme un crétin, comme je l'ai dit un peu plus tôt, et de derrière la vitre, je regarde tous nos projets perdre du sang par litres dans leur couveuse, agoniser. Le blanc des infirmières ne m'a jamais excité, elles peuvent bien mélanger les noms d'ailleurs, les bébés sont tous laids.

je sais Pas.

Il y eut beaucoup de rendez-vous clandestins place Dauphine. Beaucoup de dîners planqués chez Paul ou Delfino. D'innombrables heures volées aux après-midi à l'hôtel Henri-IV. A force, le réceptionniste nous connaissait si bien qu'il nous épargnait son sourire complice et la question fatidique : "Pas de bagages, Messieurs-Dames?" car notre chambre était réservée au mois. La chambre 32. Elle sentait l'amour quand nous la quittions. Entre les orgasmes, je ne pouvais m'empêcher de la t'interroger.
- Bon sang, Alice, je t'aime de la plante des pieds jusqu'à la pointe des cheveux. Où est-ce qu'on va comme ça?
- Je sais pas.
- Tu crois que tu vas le quitter, Antoine?
- Je sais pas.
- Tu veux qu'on vive ensemble?
- Je sais pas.
- Tu préfères qu'on reste amants?
- Je sais pas.
- Mais qu'est ce qu'on vas devenir, bordel?
- Je sais pas.
- Pourquoi tu dis tout le temps "Je sais pas"?
- Je sais pas.
J'étais trop rationnel. "Je sais pas" était une phrase que j'allais entendre souvent, je sentais que j'avais plutôt intérêt à m'y habituer.
Pourtant il m'arrivait de perdre tout sang froid :
- Quitte-le! QUITTE-LE!
- Arrête! ARRÊTE DE ME LE DEMANDER!
- Divorce comme moi, MERDE!
- Jamais de la vie. Tu me fais trop peur, je te l'ai toujours dit. Notre amour est beau car il est impossible, tu le sais très bien. Le jour où il sera disponible, tu ne seras plus amoureux de moi.
- FAUX! FAUX! ARCHI-FAUX!
Mais au fond de moi-même, je craignais qu'elle ne dise vrai. J'étais fou d'elle parce qu'elle m'échappait. Les sourds et les malentendants dialoguaient mieux que nous.

Mentir, caractère fort en 2010. Vous n'êtes pas dans Gossip Girl.


Les amis ne se sentent plus. Naomiely est une fake. Tu prétends être héritière parce que tu portes un sac Sonia Rykiel. T'as un reflex mais tu te prends en photo dans le miroir, juste pour qu'on voit que t'en as un. Tu fixes les autres nanas à la récré en tirant sur ta vieille clope, t'es trop une folle. Ton air méprisant est plus ridicule que Coluche en body American Apparel. Tes lunettes de soleil puent le plastique chinois. Tu es habillées comme tes semblables, copie conforme du "hyyyype" (ou non, justement). T'as troué tes collants, on s'appelle Miley Cyrus. Tu mets du rouge à lèvre rouge, ça fait parisienne, enfin, quand on ne dépasse pas. Tu veux du zadig & voltaire, pensant que tu épateras la gallerie. Tu chialeras durant les soldes parce que tes sisters auront acheté les mêmes articles que toi chez zadig, mais à -50, too bad! Tu vas en boîte et tu te persuades que la musique est gé-niale alors qu'elle est merdique (électro façon Russie en 1999).Tu seras peut-être en photo sur le site de la boîte trop in en question, ce qui s'avèrera absolument fabuleux, tu pourras à nouveau changer de photo de profil facebook. Tu y ajouteras les connaissances de la veille, que tu continueras à critiquer ouvertement parce que tu as lu Hell et donc tu n'aimes rien ni personne. C'est samedi soir tu vas t'épiler la chatte, et tout recommencera, let's go party.



Je suis pathétique, je suis une girl 2010. Dans le vent, comme ma mèche. Et je me sens adorée, sauf que là, je suis grillée.


Franchement, vous êtes ridicules.

promesses rompus


Ce matin, tu as lâché ma main. Tu l'a lâché, alors que tu m'avais promis. Tu avais promis qu'on serai toujours ensemble envers et contre tout. Tu sais avant, avant toi, je rigolais au nez des gens qui disait ça, mais avec toi j'aimais y croire. Naïve. Comment j'ai pu croire une connerie pareil. L'amour. Ah ça oui, ça vous en fait voir des vertes et des pas mûres. De toutes les couleurs des plus belles aux plus répugnantes. Et a force, a force, tu t'en lasses. Tu ne ressens plus rien, les belles couleurs s'estompent de plus en plus, "c'est rien, ça va passer, c'est qu'une passade, donne nous une dernière chance" redonne de l'espoir, mais l'amour n'est pas dupe, l'amour n'est pas facile a avoir, et plus les jours passent, plus l'amour trépasse.

l'amour est un téléphone qui ne sonne pas


Cette nuit-là il est 00:00. Je pense à toi, je fais un vœux. Une part de moi me dit qu'il ne se réalisera plus maintenant, mais quand même, j'y crois, je fais mon vœux. Toutes ces superstitions, j'y crois tu sais. Je lis mon horoscope tous les jours, comme si ma vie allait changer si je ne le faisais pas. Tiens, aujourd'hui il m'a dit « en amour: accrochez-vous, croyez-y, vous allez être surpris(e) ». Alors j'y crois, je m'accroche, mais... aucune surprise. Bon, pas grave, je suis patiente, j'attendrai. J'attendrai que tu me dises que tu regrettes, j'attendrai que tu me dises que tu n'veux pas m'oublier, j'attendrai. En attendant, il est 02:34. Je n'arrive pas à dormir, je pense à toi. Je réfléchis de quoi nous aurions pu parler si tu ne m'avais pas envoyé ce putain de message la veille, qui a tout bouleversé. Je réfléchis. Quelques minutes plus tard, je sors, peut-être que dehors rien ne me fera penser à toi. Dans la rue, les gens me regardent, bizarrement, comme si j'étais éperdument amoureuse d'un type qui cherchait à m'oublier pour de bon. Pff, qu'est-ce que ça peut leur faire. Je leur fais un doigt. Quand je dis « leur », je parle de ce chat devant moi. J'aime pas son regard, j'aime rien chez lui, j'aime pas les chats, je n'aime que toi. 3:15, je ne dors pas. 24h précèdent notre dernière discussion, tu sais celle où tu me brises le cœur, tu t'en rappelles ? Je marche, je ne sais pas où je vais. Les voitures roulent, quelques conducteurs me regardent, bizarrement, comme toujours. Ils ont l'air de se demander ce que je fais dehors aussi tard. Ils ont seulement l'air. Ils doivent surtout me prendre pour une tarée. Si l'un d'eux avait pris la peine de s'arrêter, je lui aurait raconté ce que je fais là, dehors, toute seule. Je lui aurait dit comme je souffre de ne plus t'avoir à mes côtés, comme je t'aime et comme je t'aimerai, alors que toi tu essaies de m'oublier. Je lui aurais dit tout ça. Je me confierai à un inconnu, mais pas à toi, je n'oserai pas.
'évite. J'évite tout ce qui me fais penser a toi. Oui, je fuis, oui je suis lâche, mais hier soir j'ai vu la vérité en face, nous deux c'était beau, mais ça ne l'est plus. Je me suis résignée, il faut bien. On a appris que tout a une fin, une fin heureuse, une fin triste, une fin de remplie de tristesse. Rien ne finit sans une once de regrets, de peines. Le seul moment ou j'ai versée une larme, ça eu était quand j'ai appuyer sur la touche effacer de mon portable pour supprimer tout tes textos, j'en suis même venu a supprimer ton numéro.."ça m'aidera" me suis-je dis. Je ne sucomberai pas a la tentation de t'envoyer un texto, juste pour savoir comment tu vas, je ne veux pas que tu crois que je cours encore après toi. Je veux que tu vois qu'on ne joue pas avec moi comme ça. De toute manière, au fond de moi, je sais que tu reviendras, c'est comme ça a chaque fois, les jours passent et se ressemblent. Et un beau matin, je sais que tu seras revenue vers moi. Peut-être au fond nous avons juste besoin d'une pause? Mais les pauses ne donnent jamais rien de bon, je suis la première a le savoir. Le principe est simple, se jeter pour mieux se retrouver, s'insulter pour mieux se consoler, se trahir pour mieux s'oublier. Oublier de s'aimer. Oublier un nous.
Macaron rose ou pistache. Frapuccino caramel chez Starbucks. Les crânes d'Andy Warhol et le Bleu Klein. Les couleurs pastels. L'or plutôt que l'argent. Le rock'n'roll. Les vanités. Brigitte Bardot. Cat's eye. Café noisette. Tarantino. Breakfast at Tiffany's. Parfums Thierry Mugler ou Chanel. Des camélias. Odeur de poudre. Birkin pour Jane, et pour Hermes. Rouge à lèvre. Photographies. Victoire de Castellane. Serge Gainsbourg. Rêves de Paris. Le piano. Edith Piaf. Tourne disque au pied de mon lit. Baroque, rococo. Marie-Antoinette. Victorien. Les perles. Les bas. Piña colada. Les chaussures. Les poupées russes. Le noir. Les cheveux longs. Placebo. Ingres. Les sourires. Vivaldi. McQueen. La dentelle. La soie. Les dorures. Le scandale. Le parquet qui craque. Les boiseries. Le soleil. Godard. Prada. Les chats. Les plumes. Les salomés. Les roses. Les bagues. Les nœuds. Le thé. Les gants. Yves Saint Laurent. Les paons. Les bougies. L'opéra. Fleurs de cerisier. La semelle rouge. Dumas fils. Voltaire. Laduree. Baudelaire. Violette. Lavande. Hamburger. Chloé. La maison Martin Margiela...
L'amour.

feel good


Mon cœur se remplit comme un ballon, prêt à exploser. Et là, je comprends qu'il faut que je lâche prise, que j'arrête d'essayer sans cesse de m'y raccrocher. Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d'autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n'est ce pas ? Ne vous en faites pas, un jour, vous comprendrez.

lundi 29 novembre 2010

 

Je traverse et la voiture me renverse. Ma boite crânienne explose et mes boyaux sont éparses aux quatre coins de la rue. Hier nous étions ici même. Hier tu ne m'aimais plus. Voici ton oeuvre mon amour. Si je ne peux t'offrir mon amour voici mon corps. Eparse, sans vie, tué. Voici ce que tu as fait de moi. Je meurs et j'entends les ambulances qui arrivent en trombe. Je meurs mon amour. Cette voiture a ruiné ma vie mais je ne ressens aucune douleur si ce n'est celle de ma jambe arrachée qui me fait hurler. Si je ne meurs pas dans tes bras je meurs en pensant à toi. Et c'est la plus belle mort qui soit. Je suis très sérieuse et je t'embrasse très fort d'où je suis. Je suis morte et je t'aime pour toujours. Je penserais à toi pour l'éternité. Quand on meurt on ne peux plus penser mais je vis un miracle. Celui de t'aimer ad vitam eternam.Les ambulanciers me soulève et mon poignet se disloque. Me voici comme une combattante, comme un milicien, un soldat en guerre. Cette image reflète tout à fait ce que je suis. Je suis en combat avec moi même. J'ai déclaré la guerre à mes sentiments à l'amour immuable, bouleversant, étouffant que je te voue. Je dépeins cette passion du christ mais je te l'a dédis. Je te dédis mon âme, et mon corps est en supplément. Je t'offre mon coeur, dans le sens propre du terme. Prends le, fais en ce que tu veux, il ne risque plus rien. Il est mort. Tu as tué mon coeur qui est en morceau. Les artères sont bouchées et le sang ne se verse plus dans mes veines mais sur les mains des médecins. Mon coeur ne bat plus. Ni pour moi ni pour toi. J'ai réussi. J'ai réussi!! Je ne t'aime plus, parce que je ne peux même plus aimer !! J'ai réussi et à présent je te vois, tu ne pleure pas. Tu es sidéré devant ce corps que tu n'arrives pas à identifier. Tu ne pense pas combien je t'aime. Tu n'imagine pas combien je t'aime. Tu ne pense pas que je pense toujours à toi. Et tu peux m'enterrer où tu veux, tant que je reste sur le même monde que le tien. Tant que nous restons ensemble jusqu'au bout. Pour toujours. A jamais. La mort ne nous séparera pas. Je la défis de nous séparer. Je défis qui conque de me séparer de toi.Ta femme t'embrasseras et tu lui feras l'amour. Vous procréerez et tu deviendras vieux et cela fera des dizaines d'années que je serais morte. J'attendrais que tu me rejoignes. Ce sera long mais tu es là pour toujours et je t'aime.Mes parents sont au pied de mon lit d'hôpital et je ne reconnais même plus le visage de maman qui est déformé par les larmes. Son visage se scinde en deux. Une partie d'elle s'éteint à tout jamais et je vois le regard anéanti de papa qui est bouleversé. Pour la première fois ils ne savent pas quoi faire. Ils comprennent qu'ils ne peuvent rien et que tout es finit. Je suis morte et rien ne pourra me ramener à eux. Ils comprennent que c'est terminé et que leur fille meurt sous leurs yeux. Ils ont envie de crier et de tuer la terre entière pour que je me réveille. Ils seraient près à tout pour revenir à la matinée ensoleillée, et imaginent tout ce qui aurait pu empêcher cette voiture de m'éjecter à plusieurs mètres. Ils se font et refont la scène dans leur têtes et ils veulent vomir. Et ils veulent cracher ma mort soudaine qui les débecte. Ils savent que plus rien n'est possible et c'est une fatalité qui se dresse entre eux et moi. Entre la vie et la mort.Et s'ils savaient que je suis morte en pensant à toi ils voudraient se crever le coeur et te tuer. Te tuer pour tout et pour rien. Sans savoir pourquoi.Tandis que je t'aime. Tandis que je ne vivais que grâce à toi. Et que s'ils t'avaient tuer, je serais morte depuis déjà longtemps.Le cardiogramme ne bip plus. Je t'observe pour la dernière fois avant que la lumère ne s'éteigne à jamais.. et tu n'as jamais été aussi beau.

Grâce aux chaines de l'année 2008 : J'ai arrêté de boire du Coca depuis que j'ai découvert que ça sert à enlever les taches de tartres dans les wc . Je ne vais plus au cinéma tellement j'ai peur de m'asseoir sur une aiguille infectée par le virus du SIDA. Je pue car je ne mets plus de déo qui peuvent provoquer le cancer. Je ne stationne plus la voiture dans aucun parking car j'ai peur qu'on me donne un échantillon de parfum pour me droguer et puis me violer. Je ne bois plus des boissons en canettes car je peux attraper une maladie. Quand je sors en boîte, je ne regarde aucun gars, même si il est très beau car j'ai peur qu'il m'emmène à l'hôtel et qu'il me drogue pour après m'enlever un rein pour le revendre au marché noir. J'ai versé aussi toutes mes économies sur le compte de Amy Bruce, une pauvre petite fille qui était malade à l'hôpital plus ou moins 7000 fois (c'est drôle cette petite fille a toujours 8 ans depuis 1995...) .Mon GSM Nokia gratuit n'est jamais arrivé, ni les entrées que j'avais gagnées pour des vacances payées à Disneyland. J'ai inscris mon prénom parmi 3000 autres sur une pétition et j'ai sauvé une espèce menacée d'écureuil. J'ai su 170 fois que Msn Hotmail allait supprimer mon compte. Je connais la recette pour ne plus être célibataire. (Il suffit d'écrire le prénom d'une personne sur un papier en pensant très fort à elle puis de se gratter le cul en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre autour d'une Renault 4L.). J'ai accumulé environ 3000ans de malheur et je suis mort 670 fois à cause de toutes les chaines mail que je n'ai pas renvoyées. Et si tu ne lis pas sa en 18secondes, et que tu n'en parle pas a au moins 8 500 000 personnes , un dinosaure viendra bouffer toute ta famille demain a 17h30 .

 

Sleepy Morning

Il est 6h00 je me réveille, seule. La tête pleine de souvenirs. Des images folles de la veille me reviennent comme un boomerang. Cela me donne envie de vomir. Cela me donne envie de mourir. Je ne veux plus penser à rien. Je te revois à me dire qu'il ne se passera rien entre nous. Rien ce soir, ni demain. Jamais. J'ai revu Gaspard qui semble si heureux avec Lolita. Cela fait 3 mois que le bonheur se prolonge. Rappelle moi combien de temps cela fait que je t'attends. J'aimerais te dire de tout oublier. Oublier ce que la douleur signifie. J'aimerais que tu m'appelles. Je sais qu'hier tu as voulu être honnête. Merci pour tes aveux, je n'en veux pas. Je ne veux pas y croire. Pourquoi tu m'as dit ça ?
X. J'aimerais que tu te rendes compte que nous avons vécu trop de choses en peu de temps. Nous avons presque fait l'amour. Je me souviens tellement de cette nuit. C'était fou. J'ai adoré. Tu m'as dit de si belles choses « T'es trop belle je ne peux pas te laisser partir ».
X. Arrête tes conneries s'il-te-plait.

dimanche 28 novembre 2010

Partout j'étais très belle, la plus belle dirais-je *


Moi ce que je voulais que tu me dises c'est que tu m'aimes, que tu aimes tout de moi : Mes défauts, même les pires, le gout de mes larmes quand rien ne va plus, l'odeur de ma peau. Quand j'évoque le mot Amour, s'il te plait, ne te contente pas d'une réponse facile. Il y a des mots pour parler de Nous, pas des mots qui sonnent faux. Pas l'un de ses mots ringards que tu as entendu dans un film. Et puis parfois, il n'y a pas de mots, juste des regards, des gestes, encore des regards.. Puis un sourire.. Qui dure.. Qui dure.. Qui dure parce-que tu as ta main posée sur ma peau. Parce que les jours passent trop vite quand je suis là et que tu ne veux plus me quitter. Que tu ne peux plus lâcher ma main et que tu lui dis que sans moi, chaque minute est inutile. Dis moi, cris moi que tu m'aimes. L'amour c'est ça, ce n'est pas un jeu...C'est dangereux. Tu vois, moi, c'est de ça dont je te parle.

Le problème, c'est que a chaque fois que je sens que j'vais m'attacher, j'me sens comme obligé de faire du mal. C'est comme ça. J'ai trop peur d'avoir mal, j'ai deja connu ce mal, c'est pire que la mort, j'en ai tellement peur que je l'anticipe, je l'esquive. Je fais mal avant d'avoir mal, et finalement sa me fait mal. Je souffre, mais je peut controler cette souffrance, c'est pas comme si c'etait quelqu'un qui me fesait souffrir, et dans ce cas là, ce n'est pas moi qui contrôle. Mais avec toi le problème c'est que je n'y arrive pas, je contrôle rien du tout, je sens bien que j'me perd dans tes yeux, que j'ai l'air d'une conne quand j'te vois. J'arrive pas a te faire du mal, avec les autres c'est si facile, mais avec toi, sa me detruit. Je crois bien que je t'aime, et que cet amour est tellement fort, plus fort que moi, que je ne peut pas le contrôler, tu me contrôles. Avec tes sourires, ta voix, tes mains qui me touchent. En fait j'ai pas l'impression que tu triches, les autres ils ont l'air faux, ils disent les mêmes choses a toutes les filles, mais toi tu dis rien, tu promets rien, t'est là et puis c'est tout. C'est ca qui est beau, tu m'aimes sans en faire trop. 

« D'abord, ils ont enfermé les drogués. Puis, ils ont enfermé les prostituées. Ensuite, ils ont chassé les pauvres clodos et tabassé a mort tous les homos.Ils ont renvoyé les immigrés chez eux, nous ont abreuvé de mensonges pour qu'on ferme les yeux. On a pas osé élever la voix, on est resté terré dans notre trou. Et il n'y avait plus personne pour réagir, quand ils s'en sont pris a nous. »

Le Mythe.



Je ne sais pas où me situer avec toi. Je ne sais pas si je dois le prendre comme un jeu, ou comme une interminable parenthèse. Mais quitte a ce que notre histoire devienne un souvenir, autant que ce soit le plus beau possible. Inoubliable. Tu en parleras même a tes prochaines copines, tu leur diras a quel point on c'est aimé, a quel point c'était beau. Tu leur diras qu'aucunes d'entre elles ne m'arrivent à la cheville, qu'elles ne valent rien comparé à moi, et elles en souffriront. Mais elle t'aimeront, aucunes filles n'est capable de te détester. Tu es un dieu, mon dieu et je suis ta muse.On s'aime tellement qu'on finit par se détester d'être devenu dépendant de l'autre.C'était trop beau, et tout le monde le sait que les belles choses ont une fin. Et maintenant que tout est fini, je realise que je t'aime encore, encore plus fort, et je meurs d'amour pour toi.
Sa vous est déjà arrivé de déprimer, mais ne pas savoir pourquoi? D'avoir un manque mais de ne pas savoir quoi, d'avoir envie d'être seule et de courir loin, loin de tout ces problème, vers un monde "meilleurs",d'avoir envie de pleurer, alors que vous avez tout pour être heureux(se), de renvoyer sur les roses les gens qui vous demande ceux que vous avez, alors que vous même vous ne savez pas, d'écouter une musique joyeuse pour se redonner le moral, mais 5 secondes après vous changer, car finalement, cette musique ne vous ressemble pas (alors que d'habitude, vous êtes a fond dessus), de ne plus ressentir la même chose pour des gens, d'avoir envie d'être transparente et n'avoir jamais exister, bref, déprimer, être dans l'incompréhension totale et changer bizarrement de comportement? et bah moi, sa m'arrive fréquemment.
Un jour c'est sur, j'irais habiter a Paris. Un jour c'est sur, j'aurais du fric. Un jour c'est sur, j'irais sur les champs Élysée pour faire du shopping (et pas seulement là).Un jour c'est sur, il y aura pas de malheureux sur terre. Un jour c'est sur, j'aurais mon dada chérie rien qu'a moi. Un jour c'est sur j'aurais un super appart' dans un quartier hyper branché. Un jour c'est sur, j'aurais mon mec géniale a moi. Un jour c'est sur, la mode ne sera pas que pour riches. Un jour c'est sur, Jimmy hendrix ressuscitera. Un jour c'est sur, je ferais le tours du monde(en plus de 80 jours). Un jour c'est sur, je serais vraiment canon. Un jour c'est sur, j'aurais une paire de Louboutin ou de Jimmy choo (voir les deux). Un jour c'est sur, y aura un nouveau Woodstock. Un jour c'est sur, j'aurais pas de problème. Un jour c'est sur, j'aurais un super boulot bien payé (si possible). Un jour c'est sur, j'aurais deux ou trois enfants géniaux (Pour les prénoms, j'ai pas encore réfléchis!). Un jour c'est sur, j'arrêterais de rêver .

Et s'aimer Pour la vie


et puis le désespoir s'empare de ton cœur, et c'est à ce moment là que tu t'assois sur le rebord de ta fenêtre. tu observes amèrement la vie des gens suivre son cours normale, avec leurs bonheur, leurs désespoir. tu te sens vraiment seul, comme ignorer du monde, buvant tristement ton cappuccino, tu as l'impression de tout oublier, de pouvoir rester toute ta vie sur ce rebord de fenêtre. d'oublier ce désespoir qui te ronge petit à petit, d'oublier que tu es seule, sans quelqu'un à aimer, d'oublier que tu as finis ce foutus cappuccino, d'oublier que tu as une vie avec ses problèmes, d'oublier que tu dois vivre ...

99F.

Recette pour aller mieux

Répéter souvent ces trois phrases:

1) L'amour est impossible.
2) Le bonheur n'exsiste pas.
3) Rien n'est grave.

jeudi 25 novembre 2010

Y'a les filles qui se lèvent deux heures à l'avance pour se maquiller et s'habiller. Puis il y a celles qui se lèvent 10 minutes à l'avance, pour pouvoir dormir plus longtemps. Y'a les filles qui peuvent marcher toute une journée avec des talons de 15 cm, et celles qui portent des converses avec une robe. Y'a les filles qui ont toujours un parapluie sur elles pour protéger leurs cheveux de la pluie, et puis celles qui rentrent chez elles trempées. Y'a des les filles qui sont capable de se mettre du vernis à ongles sur la main droite, et celles qui en mettent partout. Y'a les filles que tous les garçons dévisagent, déshabillent, invitent. Y'a les filles qu'on aime et qui sont capable d'aimer. Puis y'a celles qu'on remarque une fois sur deux, qui marchent sur des œufs, qui sautent dans les flaques, trébuchent dans les escaliers, celles qui ne comprennent pas qu'on puisse les aimer, peut-être parce que finalement, elles ne s'aiment pas assez elles même. Et toi, t'es qui, au fait?

-Tu l' aimes? - Ben ouais , elle est belle.

" Quoi ?! Je te demande si tu l'aimes. Je te parle d'amour. Et toi tu me dis qu'elle est belle ? Belle ?! Moi quand je te parle de beauté, je ne te parle pas de son joli petit cul moulé dans un jeans Levi's. Ni de ses lèvres pulpeuses. Ni de ses grands yeux pétillants. Putain. Je ne parle pas de ça. Moi ce que je voulais que tu me dises c'est que tu l'aimes. Que tu aimes tout d'elle. Ses défauts. Les pires. Les goûts de ses larmes quand rien ne va plus. L'odeur de ses cheveux quand tu l'embrasses dans le cou. Ses tâches de rousseurs quand l'été pointe le bout de son nez. Et quand j'évoque le mot amour. S'il te plait. Ne l'associe pas au sexe. Parce que tu vois, savoir combien de fois tu te la tapes tous les jours, moi, je m'en fous. Merde. Il y a des mots pour parler d'elle. Pas des mots en toc. Pas des mots qui soient faux. Pas l'un de ses mots ringards que tu es entendu dans un film. Pas comme ça. Parfois il n'y a pas de mots. Juste des regards. Des gestes. Encore des regards. Puis un sourire. Qui dure. Qui dure, parce que tu as ta main posée sur sa peau brûlante. Parce que dans sa poche furtivement tu as caché un petit gribouillis avec inscrit "Je t'aime" quand sa tête était tournée. Parce que les jours passent trop vite quand elle est là et que tu ne veux plus la quitter. Que tu ne peux plus lâcher sa main. Et que tu lui dis que sans elle, chaque minute est inutile. Et en revanche. Parce que tout ne va jamais bien. Que ses yeux brillent, pleurent. Lors d'une dispute. Qu'elle te lance au visage des mots affreux, des cris de haine. Alors pardonne-la. Recommence à zéro. Et dis-lui. Cris le que tu l'aimes. L'amour c'est ça. Ce n'est pas un jeu. Pas de la merde. C'est dangereux. Tu vois, moi c'est de ça dont je te parle. "
Petite fille : Qu'est-ce que tu cherches ?
Petit garçon : Chut ! Tu vas lui faire peur !
Petite fille : Faire peur à qui ?
Petit garçon : Je ne peux pas le dire, c'est un secret.
Petite fille : Je sais garder les secrets...
Petit garçon : Bon, d'accord... Et bien je cherche l'amour.
Ma maman m'a dit qu'il pouvait se cacher partout, derrière
un arbre, sous un banc, au bout d'un chemin.
Petite fille : Je peux t'aider à le chercher ? Ma maman à
moi, elle dit qu'il faut être deux pour le trouver...
Je voudrais seulement être comme les autres, j'envie leur aisance, leurs rires, leurs histoires, je suis sûre qu'ils possèdent quelque chose que je n'ai pas, j'ai longtemps cherché dans le dictionnaire un mot qui dirait la facilité, l'insouciance, la confiance et tout, un mot que je collerai dans mon cahier, en lettres capitales, comme une incantation.

Parfois il me semble qu'à l'intérieur de moi quelque chose fait défaut, un fil inversé, une pièce défectueuse, une erreur de fabrication, non pas quelque chose en plus comme on pourrait le croire, mais quelque chose en moins.

mercredi 24 novembre 2010

Un jour, ce n'est pas toujours.




Oui c'est faible, mais la vie est faites de concessions, à tord ou à raison. J'ai besoin de toi comme la terre du soleil, je dois bien l'avouer, mais toi, toi, tu me laisse en bas, me regarde comme si je n'était pas vraiment là. Et je dois me contenter de sa, chaque lambeau de bonheur que tu laisse derrière toi, je le prends comme si il était là pour moi. Comme si il n'était pas tomber par hasard. Je me conforte dans ses idées, celles où je m'imagine que tu ne pourras jamais m'oublier. Mais c'était trop beau, tu devais te lasser un jour de baisser la tête et de me voir, c'est le destin. Je suis faible. Faible, faible.

Aller à un concert - Repeindre ma chambre en vert - Boire de la vodka - Aller chez Ikea - Mettre un décolleté - Louer un meublé - Et puis tout massacrer - Pleurer pour un rien - Acheter un chien - Faire semblant d'avoir mal - Et mettre les voiles - Fumer beaucoup trop - Prendre le métro- Et te prendre en photo - Jeter tout par les fenêtres - T'aimer de tout mon être -Je ne suis bonne qu'à ça - Est ce que ça te dé-çoit ? - J'ai rien trouvé de mieux à faire et ça peut paraître bien ordinaire Mais c'est la liste des choses que je veux faire avec toi - Te faire mourir de rire - Aspirer tes soupirs - M'enfermer tout le jour - Écrire des mots d'amour - Boire mon café noir - Me lever en retard - Pleurer sur un trottoir - Me serrer sur ton cœur - Pardonner tes erreurs - Jouer de la guitare - Danser sur un comptoir - Remplir un caddie - Avoir une petite fille - Et passer mon permis - Jeter tout par les fenêtres - T'aimer de tout mon être - Je ne suis bonne qu'à ça - Est ce que ça te dé-çoit ? - J'ai rien trouvé de mieux à faire Et ça peut paraitre bien ordinaire Mais c'est la liste des choses que je veux faire avec toi - Ha ha, Ha ya, Ha ya, Ha ha, - Je sais je suis trop naïve - De dresser la liste non exhaustive - De toutes ces choses que je voudrais faire avec toi - T'embrasser partout -S'aimer quand on est saouls -Regarder les infos Et fumer toujours trop - Éveiller tes soupçons Te demander pardon - Et te traiter de con - Avoir un peu de spleen - Écouter Janis Joplin - Te regarder dormir - Me regarder guérir - Faire du vélo à deux - Se dire qu'on est heureux . Emmerder les envieux.
Dis lui que j'αi un αutre homme. Que lui c'est du pαssé mαintenαnt meme si c'est du Bluff. Dis lui que sαns cesse j'αi αvαncé. Dis lui que j'suis pαs triste, Qu'il n'y α αucune cicαtrice. Dis lui que j'lui en veux pαs, Que j'αi tourné lα pαge et oublié son parfum sur l'oreiller. Meme si c'est pαs vrαi. Dis lui tout ce que tu veux , Du moment qu'il te crois. Dis lui que j'αi un nouvel' Homme. Dis lui qu'il est bien loin mαintenαnt, et qu'il n'est plus rien. Que je continue mon chemin,Meme que je vαis bien, que j'αi pαs de chαgrin. Que l'αmour m'α épαrgné.. Dis lui qu'tu mα vu hier et que j'étαis bien αccompαgné. Dis lui bien qu'il ne peut pαs nier. Mon coeur en pαnne est dépαné. Dis lui que je suis fαite pour etre fαible mαis que je me relève. Dis lui n'importe quoi, C'que tu veux. Mαis je t'en suplie, ne lui dis pαs α quel point je souffre. Ne lui dit pαs comment il me mαnque. Ne lui dis pαs que je l'αime Encore . . .
Je ne me rappelle plus ton sourire, redessine-le moi sur un papier, sur un tableau, ou avec tes doigts sur ton visage, d'ange à mon dernier et seul souvenir. Tu me rappelle les mouvements d'un reflet sur l'eau, d'une rivière à courants léger. Comme deux bateaux de papier, maladroits, qui s'entrechoquent, et coulent. Ainsi les fleurs qui pousseront de nouveau sur mon chemin, ne pourront égaler ta beauté et ta grâce, et je marcherai tout en continuant de m'imprégner ton souvenir rayonnant, dans la douceur d'une fin d'après-midi. Les odeurs que je rencontre sur cette terre, ne te ressemblent pas. Où sont-ils passés, ces doux picotements de bergamote et citrons d'été, que tu laissais sans cesse derrières tes pas ? Rien d'ici ne peux se mesurer à toi, il y a tellement plus de richesse dans ton regard, que dans ce ciel éperdument grand où je me noie. Si je lève la tête, vais-je rencontrer la folie en face de moi, celle qui me prend quand tu dévores mes lèvres ? Si ce n'est pas le cas, laisse-moi encore regarder le sol sur lequel je marche, à la recherche de tes traces. Tu disais que la sensation d'être au sommet de la montagne était si sublime et incommensurable, mais pour moi, elle n'est pas aussi belle que les instants où nos formes s'épousent. A la recherche de ton corps, de ton cœur, de ton amour, je me perd dans ce combat, chaque nuit où tu nous accorde l'union. Je peux voler sur toi, en cueillant ton bonheur et toutes imprudentes pensées. Laisse-moi contempler ce sourire illicite, qui pourrait déformer toutes ententes. Toujours et éternellement. Cette indépendance interdite, qui me fait du mal, qui me fait du bien. Le paradis peut bien être le plus bel endroit qui soit, si tu n'y est pas, ce ne serait pour moi qu'un monde emplie de tristesse. Alors laisse-moi te charmer, t'aimer, te déformer, pour que personne d'autre ne comprenne nos réelles intentions, dans notre aliénation passionnelle. Je voudrai fondre en toi, te voler cœur et âme, et en faire les trésors de ma vie.

mardi 23 novembre 2010






Quelques fois, il m'arrive de me prendre la tête,
de me sentir paumée et de te mettre à bout de nerfs
Tu me connais bien maintenant, tu disais que j'étais

ce genre de fille: le genre doux, le genre idiot.
Mais quand je doute, j'ouvre la bouche.
Bien, il y a peut-être un dieu, là-haut. Mais tout ce que j'ai appris de l'amour était comment tuer quelqu'un qui t'as surpassé. Ce ne sont pas des pleurs que tu entends la nuit, ce n'est pas quelqu'un qui a vu la lumière : C'est un Hallelujah froid et brisé.

Le pire dans cette histoire, c'est qu'on est des esclaves, quelque part assassin,
Ici, bien incapable de regarder les arbres sans se sentir coupable à moitié défroqué 100% misérable.

Alors voilà petit l'histoire de l'être humain, c'est pas joli, joli et j' connais pas la fin :
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin.




[ Il faut que tu respire, c'est demain que tout empire ]

Je suis une bombe humaine dans une maternelle.
Un cuter dans le coeur de ton paternel.
J'ai mis ta mère en vente sur internet.
Et je fais tapiner ta soeur.

On vient m'interner !

Espérer un peu de bonheur.Un peu de ton amour.Juste ça.

Je suis née par curiosité.Y a t'il une meilleure raison de naître?

Angoisse permanente,angoisse épuisante.

 
 
Ses doigts agrippèrent le tissus tandis que les larmes coulaient sur ses joues. Le cri était déchirant, effrayant, faisait trembler les murs. Et pourtant son coeur battait encore, elle survivait à la douce mélodie de ses souvenirs.
Rachelle entre dans sa maison.Sa maison est grande.Grande comme sa petite fille.
Sa petite fille
joue à la poupée.La poupée ressemble à Jean-Jacques.Jean-Jacques est gros.Gros comme une baleine.Une baleine des lavabos.Des lavabos très sales.Sales,remplis de cheveux.Cheveux long.Long comme une corde.Une corde à sauter.Sauter tout ce qui bouge.Bouge ton cul.Cul pleins de merde.Merde,crotte,zut,putain.Putain c'est fini.Fini l'article.L'article ridicule..

lundi 22 novembre 2010

C'est tellement dur de souffir. Ca fait tellement mal. Ca te brise de l'intérieur, te consume et te brûle à vif. C'est insupportable, presque ingérable.

Ah ! Tes yeux ! J'aime m'y plonger, m'y noyer. Puis tu m'enlace et tu m'embrasse. chaque fois c'est pareil. C'est éternel, irréel.

Un jour j'arriverais derrière toi, je t'empoignerais par le bras, je t'emmènerais loin de là et on partira ensemble. Rien que tout les deux. Comme des amoureux... On fera les quatre cent coups, on volera de nos propres ailes comme on l'a toujours voulus. On rira des gens qui se vautrent par terre, on se moquera de toutes ces filles en plastiques et superficielles, on ira au cinéma et on pleurera devant une comédie romantique ou nous rirons devant un une comédie. On regardera des couchés de soleil magnifiques, on se regardera dans les yeux et on se sourira comme au bon vieux temps. On regardera le ciel la nuit, les étoiles, les filantes, la lune, les nuages et on dormira à la belle étoile. A la belle étoile... Tu te souviens quand on était petit ? Je te disais sans cesse qu'un jour on accomplirait tous nos rêves, même les plus fous et qu'on ferait ça ensemble. Mais ce que je ne t'avais pas dit, c'est ce qu'était mon rêve le plus fou. Celui que je ne t'avais jamais dit par peur de te perdre. Et un jour en rigolant je t'ai demandé de m'embrasser. Tu n'as pas réagis. Le choque peut-être. Puis nous avons changé de rue. Nous sommes passé de la petite rue déserte à la grande rue bondée de monde et là tu m'as prise dans tes bras, tu as passé ta main dans mes cheveux, tu m'as regardé dans les yeux, tu as chuchoté à mon oreille... " Je connais ton plus grand rêve... " ... Et tu m'as embrassé fougueusement dans la foule. C'était magique, magnifique, unique. Dithyrambique.

dimanche 21 novembre 2010

Un gars & une fille étaient sur une route à 200 km/h sur une moto. Elle: Ralenti j'ai peur! Lui: Nan arrête, c'est marrant! Elle: Nan, stp j'ai trop peur! Lui: Bah, dit que tu m'aime. Elle: Je t'aime, ralentis stp! Lui: Maintenant donne moi un gros gros câlin. Elle lui fait un câlin. Lui: Tu peux enlver mon casque & le mettre, il me gêne. Dans le journal le lendemain: Accident de moto, a cause d'un problème de frein, 2 personnes y étaient mais une seule a survécue. La réalité: A mi-chemin sur la route, il avait réalisé que le frein ne marchait plus, mais il ne voulai pas le dire à sa copine. A la place, il lui a fait dire qu'elle l'aimait, a voulu un câlin pour la dernière fois, et lui a fait mettre son casque pour qu'elle puissee vivre encore même si lui devait y laisser sa vie. (♥)



 
 


Cet état de trance. Le résonnement de cette musique si forte dans mes tympans et le déhanchement de mon corp au rytme d'un son minimaliste. Les lumières tromboscopiques donne à cette vaste sale une ambiance glauque et déchainé et tous les gens qui m'entoure sont ivres morts. Un verre vide, je le jette par terre et j'en en prend un autre. Une prise de plus et j'y retourne. C'est exaltique, c'est ennivrant et le Boum Boum cogne toujours plus fort dans mes tympans.

Never give up on anybody . Miracles happen every day

Je pourrais rester éveillée juste pour t'entendre respirer.
 Te regarder sourire tandis que tu es en train de dormir.Tandis que tu es en train de rêver. Je pourrais rester perdu dans ce moment à jamais.Tous les moments passés avec toi, sont des moments de joie. Je ne veux pas fermer les yeux, je ne veux pas m'endormir. Car je ne veux
manquer aucun instant avec toi. Allongée près de toi, je sens ton coeur battre, et je me demande de quoi rêves tu, je me demande si c'est moi que tu vois. Quand j'embrasse ton front, je remercie Dieu que nous soyons ensembles. Je ne veux manquer aucun
 de tes sourires, je ne veux manquer un seul de tes baisers. Je veux juste être avec toi et te serrer fort contre moi.
Pour sentir ton coeur si proche du mien à jamais .
hope and dream

Je ne fume pas. Je ne bois pas. Je me drogue pas. Je mate pas en faite j'aime pas les garçons c'est trop compliqué evidament je ne tombe jamais amoureuse. J'aime pas la plage, le soleil... tous ce qui se rapporte aux vacances je préfère être en compagnie de mes cahiers au moins là y a plus de conversations. J'aime pas la mode c'est trop moche ça. J'aime pas aller en ville c'est trop ennuyant mon seul bonheur c'est mes cahiers. J'aime pas Zara, H&H, Evasion, Bis Bis... Trop laid quoi. J'aime pas le style hype ni les gens qui disent peace. J'aime pas ma chienne Enya. J'aime pas mon blog il est vraiment trop nul. J'aime pas la danse c'est hyper nul. J'ai pas d'ami(e)s tant mieux. Bref, je suis la fille parfaite, quoi. Nan, je déconne !


Un papillion prend son envole pour la première fois,
c'est magique et en plus il n'avait même pas encore
appris. Moi, je t'aime pour la première fois et pourtant
c'est magique, mais tous se ralentit, et je veux apprendre
a aimer sans voler parce que sinon, je vais tomber.
Pars, c'est désormais fini. Après un an, je te laisse quitter ce
monde dont tu ne fais plus parti. Je voulais te garder avec
moi tu comprends, tu pouvais pas t'en aller comme ça, comme
 un voleur. T'avais pas le droit de t'enfuir comme un lâche,
 de m'abandonner seule ici. J'avais pas écrit l'histoire comme
 ça, t'etais sensé rester là, à me regarder grandir, m'ap-
prendre la musique,me dire combien la vie est belle. T'as pas
 respecté tes engagements, je t'en veux tu sais. Je t'en veux de
m'avoir laissée ici, de m'avoir quitter sans me dire au revoir.
 Mais t'avais pas le droit de faire ça. Je me demanderai
certainement toujours pourquoi, et bien que je sache que
 je n'aurai jamais de réponse, je sais qu'un jour je te retrou-
verai. Je te laisse enfin reposer en paix. Si t'as pas été là avant
, je te laisse l'opportuné de veiller sur moi maintenant; saisis
-la, n'abandonne pas ton poste encore une fois. J'ai jamais pu
compté sur toi, après tout c'était pas comme si t'étais un maillon
important de la chaine qui fait ma vie nan, t'étais mon pilier,
 et qu'importe tes debordements, t'étais mon exemple. Je ne
te pardonnerai jamais d'être parti si vite, mais je veux plus te
garder ici, j'en suis plus capable, c'est là-bas que j'ai besoin que
 tu sois, pour prendre soin de moi. Pars, c'est fini. _

L'amour n'est pas eternel ..

..C'est un peu comme lorsque tu fais une tache d'encre indélébile sur ton t-shirt , tu sais qu'il est trop tard, mais tu y tiens tellement à ce t-shirt là , que tu fais tout pour l'enlever cette maudite tache , en sachant parfaitement que ce ne sera plus jamais comme avant. Il te reste toujours un espoir .

On m'a toujours dit que les plus belles histoires d'amours étaient celles qui étaient longues et merveilleuses. Comme dans les comtes de fée, lorsque la magnifique princesse rencontre le prince charmant. Mais, la réalité est tout autre, alors que le princesse se mari à 16 ans et fait tout aussi tôt des enfants aussi merveilleux qu'elle. Les adolescents, aujourd'hui vivent des histoires d'amours compliqués et complétement folles. Des histoires d'amours belles ou non, impossible ou réalisable.
Finalement, je crois que ce qui fait le charme des histoires d'amours d'aujourd'hui c'est leurs facultés à être folles, magiques et à la fois triste. Lorsque l'on tombe amoureux, il faut presque toujours s'attendre à souffrir.
Oui, dans le fond, on est tous courageux, car tomber amoureux c'est prendre le risque de tomber seul un jour ou l'autre.
ℐe suis le genre de fille qui est serieuse tout en ne l'étant pas.Le genre sensible, romantique, et attachante à ce qu'il paraît. Je suis aussi jalouse, posséssive et plus qu'exaspérante. Je ne suis pas une perle rare mais j'en connais pas mal. Je suis une des filles à écouter en boucle une chanson qui me tient à cœur ou juste parcequ'une personne que j'aime me l'a fait découvrir. Je suis de celles qui soupirent tout le temps en regardant le ciel. Je ne suis pas de celle qui se trouvent merveilleuse ni de celles qui sont heureuse et bien dans leur peau. Je ne suis pas croyante mais il y'a bien quelque chose après la mort. Je ne suis pas de celles qui sortent tout le temps mais je devrais peut être. Je fait partie de celles qui disent qu'elles s'en fichent de ce que les autres pensent d'elle mais lorsque l'on me juge ça me blèsse et je ferais tout pour me reprendre. J'aime le chocolat, les films avec des histoires d'amour qui finissent bien du genre " Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants " Je déteste tout les gens intolérants comme les racistes, les fachos, les antisémite etc. Je ne sais pas et ne saurais jamais mettre ma couette dans ma housse de couette. J'ai toujours faim. Je suis irrécupérable en maths et en physique. Par compte j'aime le français, l'anglais. J'ai soif d'amour encore et toujours. J'aime dormir pour rêver. Pour le reste on s'en fou !

You're all I want, you're all I need.


« Tu te rappelles à 4 ans la promesse qu'on c'était fait ? Celle de ne jamais se quitter quoi qu'il arrive ? Tu te souviens derrière chez moi quand on s'embrassait en cachette ? Ce n'était qu'un jeu, on était des enfants insouciants et innocents. Tu te rappelles quand on s'est dit "je t'aime" ? Bien sur ça ne comptait pas. Et pourtant... »


Cette dernière phrase que j'ai prononcé en te regardant dans les yeux et à laquelle tu n'as jamais su répondre. Aujourd'hui encore quand j'y repense moi-même je n'aurais pas su quoi répondre. Peut-être que la vie est ainsi, peut-être que c'était écrit. Nous ne devions être qu'amis, ni plus ni moins. Mais tu m'as quitté ou plutôt abandonné. Ces sentiments qu'on ne contrôlait pas et qui pouvaient tout détruire te faisaient peur. Moi aussi je l'avoue. Mais contrairement à toi je n'ai pas été lâche, je les ai affronté. Même si ça fait mal, même si on en souffre. Parce que finalement ton absence n'a fait qu'augmenter ma souffrance. Ne t'en fais pas. J'ai remonté la pente. J'ai compris que je devais continuer ma vie avec ou sans toi. Et qui sait ? Peut-être qu'un jour nous nous retrouverons. J'espère que de ton côté tout va bien. Je ne m'inquiète pas pour toi, je te connais, je sais comment tu es. Tu as de nouveaux amis, une petite amie surement. La vie est faite ainsi. Je te laisse sur ces mots. Je n'attend pas de réponse de ta part, saches-le.
Je t'embrasse.

mercredi 17 novembre 2010

                                          Holly Shit

Il n'y a plus rien a détruire maintenant. C'est comme les répliques
 d'un séisme, tout c'est déja éffondré, et pourtant ca fais toujour autant de dégats. Ca fais toujour aussi mal. Le plus dur, c'est de se reconstruire une vie a partir de gravats. Faire le trie entre tous ce qui est encore en état, et tous ce qui est définitivement anéanti. Trouver les forces, le courage de tous remettre en ordre. Réussir a recommencer une vie en se passant de tous ce qui a été détruis. Garder éspoir, survivre...
Mélanie aime la réalité et les idées abstraites , avec un minimum d'intéligence , ayant un fort tempérament. Surement trop discrète , timide et humble .Honnête et loyale , déterminée à atteindre ses objectifs , aimant surtout la liberté et se rebellant facilement lorsqu'il y a des règles ,n'aime pas l'agressivité et pourtant qui montre de la colère assez facilement ,trés sensible , se blessant facilement. Mélanie, n'aime pas les choses qui ne sont pas nécessaires , elle aime ses ami(e)s et aime s'en faire mais le montre trés peu . Audacieuse, obstinée et surtout trés ambitieuse et rêveuse.Aime beaucoup les divertissements et les loisirs , romantique à l'interieur , mais pas en apparence.Trés dépensiere , pour finir ,Mélanie vous aimes.
 
Malgré une apparence de gamine, la vérité est cachée au fond de l'être, n'oubliez jamais qu'on cache souvent ce qu'on a peur d'affronter. On reproche à d'autres ce qu'on est sois même. On critique facilement alors qu'on est pas mieux. En réalité on est tous des égoïstes immatures qui ne savent pas voir en face ce qui est vrai, qui préfèrent nier la vérité et ne pas prendre le temps de trouver ce qui est bon à suivre, pour enfin tout se prendre en pleine "gueule" et faire voir ça valeur égocentrique d'un certain côté à plaindre. Aujourd'hui on ne sait plus la valeur des choses, ni si celles-ci sont vraies ou pas. Les mots ne restent que des mots, ils l'ont toujours été pourtant.

Comme une ombre dans la nuit

A huit ans, elle était grande pour son âge, avec une ossature fragile et des traits délicats. Ses cheveux soyeux couleur de blé tombaient avec grâce sur son dos étroit. Sa mère aimait les brosser, cents coups chaque soir d'une brosse souple et douce à dos d'argent qui reposait sur la jolie table de toilette en merisier.Le corps de l'enfant se souvenait de ces instants, percevait encore le long mouvement appuyé de la brosse qui lui donnait l'impression d'être un chat que l'on caresse. Le corps de l'enfant se rappelait la lumière glissant sur les boîtes à épingles et les flacons de cristal bleu, jetant un éclat sur le dos argenté de la brosse qui dansait au-dessus de ses cheveux.La fillette se rappelait aussi le parfum de la chambre, toujours présent. Un parfum de gardénia. Maman ne voulait que du gardénia. Et dans le miroir, à la lueur des lampes, ce pâle visage ovale était encore là, si jeune, si gracieux, avec ses yeux bleus pensifs, sa peau satinée. Si vivant.
( ce n'est pas moi sur la photo. )